Tata YOYO et les contrats aidés : une nouvelle communication.



« Nous avons lu dans le journal OUEST- France, édition de Saint-Malo, en date du 28 août 2017, deux articles au sujet des contrats aidés et de leur possible disparition soit « à la maison de retraite le besoin se fait sentir » et « contrat aidé : le coup dur pour Pomme d'Api » . Il apparaît clairement dans ces articles qu'en fait, les contrats aidés sont utilisés dans le cadre d'emplois réels à assurer et de fait non créés, c'est-à-dire que les maisons de retraite et les crèches ont bessoin de plus de personnel et qu'il faut trouver collectivement les moyens de créer des postes dans ces endroits et donc de favoriser l'emploi. Rien n'empêche ensuite les personnes éloignées de l'emploi de pouvoir être en immersion dans ces endroits mais sur la base d'un personnel suffisant dans les lieux de travail et de leurs allocations déjà perçues pour ensuite si elles le veulent s'orienter vers une formation à ses métiers. Tout le monde s'en portera mieux. Nous devons cessons de penser le tissu social tels des bricoleurs du dimanche ou des chirurgiens des quatre jeudis qui posent des sparadraps sur des jambes de bois. Autrement dit, les personnes se plaignent de la disparition des contrats aidés alors qu'en fait ils se plaignent de ne pas pouvoir créer les emplois dont ils ont besoin, ce n'est pas la même chose ! Ne devons nous pas réfléchir collectivement à la distribution des richesses nationales ? Pourquoi continuer à payer des forces de police pour protéger des personnes qui ne sont nullement menacées et qui pourraient se payer des vigiles ? Pourquoi certaines institutions baignent dans le luxe alors que d'autres doivent compter sur les magiciens et les illusionnistes ? Ce sont ceux et celles qui bénéficient des privilèges qui doivent y renoncer afin que les richesses soient partagées plus équitablement ce qui accroitra les richesses et baissera les violences. Il n'est pas possible de rendre un monde plus juste, plus stable et moins violent seulement par la parole, il faut que cela soit en adéquation avec du réel sinon les uns et les autres tôt ou tard peuvent devenir fous et chercher à se libérer de tant de mensonges d'une façon dommageable pour les sociétés.Et puisque nous sommes démocrates, nous n'envisageons pas d'autres façons que de pas leur mentir. »


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